Niveau de vie, logement : en Île-de-France, lors d’une séparation, les femmes sont davantage pénalisées

L'Institut Paris Region

Habitat – logement, Sciences humaines

janvier 2025

Chaque année, sur les 2,5 millions de couples (mariés, pacsés ou en union libre) résidant en Île-de-France, environ 3 % se séparent. L’année de la séparation, les ex-conjoints voient en grande majorité leur niveau de vie baisser, quel que soit leur ancien statut conjugal. Les femmes pâtissent des pertes financières les plus fortes et basculent plus fréquemment que les hommes dans la pauvreté. Deux ans après la séparation, la situation des ex-conjoints s’améliore, mais elle reste dégradée pour les femmes. Dans un contexte régional caractérisé par des marchés immobiliers tendus, les conséquences matérielles des séparations se répercutent sur les conditions de logement des ex-conjoints et, lorsqu’ils en ont, de leurs enfants.

Année de parution : 2025

consulter en ligne

Autres publications de l'agence

  • Réconcilier densité et qualité de la construction. Faire la ville à l’heure du ZAN

    Il faut densifier. Mais à quoi ça ressemble, la densification ? Densifier, est-ce construire à nouveau des grands ensembles ? Est-ce détruire les paysages bâtis […]

    En savoir plus...
  • La construction en terre crue, une opportunité à saisir en Île-de-France

    Disponible presque partout dans le monde, la terre crue figure parmi les plus anciens matériaux de construction. En Île-de-France, on assiste actuellement à la redécouverte […]

    En savoir plus...
  • La santé dans les territoires ruraux d’Île-de-France. Analyse descriptive

    La population étudiée est majoritairement âgée, avec une forte proportion de personnes entre 45 et 74 ans, et peu de jeunes de moins de 30 […]

    En savoir plus...